Ostéopathie Structurelle et Respiratoire – Fasciathérapie

(Torticolis, sciatiques, dorsalgies, lumbagos, entorses, etc)

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 « Les universités n’enseignent point toutes choses, il faut au médecin chercher les bonnes femmes, les bohémiens, les tribus errantes, les brigands hors la loi, et se renseigner chez tous.

Nous devons par nous-mêmes, découvrir ce qui sert à la science, voyager, subir maintes aventures et retenir ce qui en route peut-être utile. »

Paracelse (1493-1541)

Ne pas confondre maladies et épuisement.

De nos jours, je ne vois que des gens épuisés. La surcharge de travail et la quête de performances sportives les empêchent de vraiment se reposer. Ils enchaînent les engagements sans temps de récupération, ce qui les épuise mentalement et physiquement. Un bon repos leur serait plus bénéfique que toutes les thérapies qu’ils essaient pour compenser leur fatigue liée à un rythme de vie trop intense.

Bernard Tisné

Ostéopathe D.O exclusif et Rebouteux depuis 37 ans, né en 1957, enseignant et créateur de la Méthode Kyma qui réunit la Libération Émotionnelle et les Thérapies Manuelles et Respiratoires, (méthode personnelle).

Spécialiste des Manipulations Vertébrales ou Structurelles ainsi que des Thérapies Manuelles Asiatiques ( Tuina, Chi Nei Tsang, Shiatsu, etc…) acquises au cours de nombreux voyages en Europe, Asie et à travers le monde.

Ces différentes techniques complémentaires à l’Ostéopathie sont des techniques que j’ai étudié pendant mes nombreux voyages en Europe, en Asie en Amérique du Sud ou pendant mes 14 années passées en Afrique auprès de gens qui étant coupés du monde pendant des siècles ont développé des techniques différentes de celles de l’occident qu’ils ont codifié et expérimenté au fil des époques.

  • 13, impasse des Glycines – 65310 Horgues (4 km de Tarbes, direction Bagnères de Bigorre, dans les Hautes Pyrénées) – Tel: 06 80 30 08 80

« Le corps est un instrument de musique
qu’il suffit d’accorder. »

L’intuition corporelle en ostéopathie n’a rien à voir avec la routine, elle relève d’un état d’esprit libéré de tout conditionnement gestuel qui est au-delà de la technique. Il faut laisser la main s’exprimer et oublier tout ce qu’elle a appris pour ne laisser place qu’à l’intuition.

C’est en oubliant les techniques que le Thérapeute peut agir sur la base de son seul instinct mais pour oublier ces techniques, il faut au préalable les avoir étudiées et arrivé à ce stade, il n’y a plus de techniques.

Une cellule tendue fonctionne mal tandis qu’une cellule détendue fonctionne bien. Quel que soit la façon dont le mal être s’exprime (physiologique, psychologique, somatique…), le travail consiste juste à détendre le système pour qu’il fonctionne autrement et dans cet  » autrement « , il y a de la place pour la guérison.

(Bernard Tisné)

La Rencontre du Passé, de l’Orient et de l’Occident

Le fait d’opposer par convictions ou idéologies thérapeutiques les manipulations ou ajustements avec bruits articulaires (manipulations dites « structurelles ») aux manipulations sans bruits articulaires (manipulations dites « soft » ou « douces ») est un débat inutile.

C’est uniquement la pathologie et l’âge du patient qui détermine le type de techniques à employer et rendent légitimes les innombrables méthodes de traitements.

Le travail du Thérapeute consiste à trouver l’endroit qui vit sous stress depuis un certain temps, de le libérer, de le corriger et de le remettre en mouvement pour qu’il retrouve l’élasticité et la flexibilité des tissus qui ont disparu avec le temps.

Les techniques que j’emploie sont le contraire de toutes les techniques traditionnelles. Elles ne doivent en aucun cas être comparées aux méthodes classiques de médecines manuelles car la localisation des pressions ainsi que leurs puissances ne sont pas standardisées et varient constamment d’un individu à l’autre.

Ces techniques sont basées sur la vitesse et la vélocité pour empêcher le cerveau de se concentrer sur un point précis du corps. Je ne cherche pas à calmer le corps ou à le détendre mais au contraire à le réveiller.

Les trajets suivis et la direction des pressions n’ont aucun rapport avec les méridiens d’acupuncture ou la médecine traditionnelle chinoise (MTC).

Elles ont pour but de remuer profondément certains muscles selon un ordre très particulier et avec une pression très calculée en fonction des zones annexes saines dans des endroits précis en suivant le trajet de certains nerfs pour les stimuler et ainsi leur permettre de redonner l’influx à certaines zones en sommeil.

Ce sont des techniques sur le mal de dos et les déplacements articulaires que j’ai étudié en complément de l’Ostéopathie pendant mes nombreux voyages en Europe, en Asie en Amérique du Sud ou pendant mes 14 années passées en Afrique auprès de gens qui étant coupés du monde pendant des siècles ont développé des techniques différentes de celles de l’occident qu’ils ont codifié et expérimenté au fil des époques.

Les pensées positives ou négatives façonnent notre biologie et notre état de santé.

L’homme est ce qu’il pense.

« Ce qui ne s’exprime pas par des mots s’imprime, se répète et s’exprime par des maux.  » –  Anne Ancelin Schutzenberger.

L’Ostéopathie sans l’étude du comportement humain n’est rien. Le visible (contractions musculaires) n’est que le reflet de ce qui est invisible (contractions de l’esprit).

Les troubles physiques sont souvent causés par une mauvaise circulation sanguine et lymphatique due à l’accumulation de fatigue physique et mentale telle que la fatigue au travail et le stress dans la vie quotidienne.

A une époque de conformisme, avoir un esprit scientifique et critique peut être considéré comme un trait antisocial, mais la science sans la critique est inconcevable, car la seule voie de l’objectivité scientifique est de questionner, non d’affirmer.

Vous avez de l’arthrose, mais qui n’en a pas à partir de 35 ou 40 ans? Une protrusion discale, un léger pincement vertébral, un tassement de vertèbres, des becs de perroquets, un bassin décalé, une jambe plus courte et vous êtes tordu car votre colonne vertébrale n’est soi-disant pas droite? Quel est celui d’entre nous qui n’a pas au moins un de ces symptômes?

S’il y a une seule chose, que je devrais retenir de toutes mes années de voyages à travers le monde bernard-tisne.com/parcours, c’est bien celle ci: l’Univers est un immense placebo.

Chaque expérience, chaque souvenir, chaque croyance et chaque habitude se conjuguent avec nos gènes pour faire l’individu unique que nous sommes et le corps s’adaptera comme il peut à la vie que nous vivons.

« L’histoire de notre vie est écrite à l’intérieur de notre corps. Notre corps est la démonstration vivante de l’état d’être dans lequel se trouve notre esprit. »

La contraction est un repli sur soi

Il y a beaucoup trop d’attention de nos jours sur les causes mécaniques du mal de dos et trop peu sur les dysfonctionnements de l’esprit et le mal être émotionnel. La fatigue physique finit par devenir une fatigue mentale

L’anxiété se loge dans nos muscles.

Les premières causes du mal de dos dans nos sociétés modernes sont l’angoisse et la peur permanente de l’individu sur l’avenir.

Derrière chaque maladie, il y a un déséquilibre nerveux et respiratoire, donc de l’être. Il y a de moins en moins de travailleurs de force que dans le passé. Le corps de l’homme est capable d’encaisser physiquement plus de choses que l’on croit.

Le bas du dos succombe souvent à un stress physique et émotionnel et cela concerne souvent la région L4-L5 des vertèbres lombaires.

On confond trop souvent le stress qui peux être nécessaire à la survie de l’organisme avec l’angoisse qui est un véritable fléau pour notre système nerveux.

La peur de perdre ce que l’on a et l’incertitude du lendemain créent plus de dégâts sur le dos que le travail physique de nos jours.

La plupart des blessures au travail sont causées par un stress répétitif au fil du temps. Les tâches effectuées avec une mauvaise posture peuvent entraîner des maux de dos aigus et chroniques et peuvent réduire la productivité et la perte de temps au travail et cette frustration peut entraîner un stress mental supplémentaire.

Les déséquilibres du corps qui sont naturellement réels ont pris la première place mais si les causes du mal de dos étaient seulement mécaniques ou posturales, il y a longtemps que nous autres Français nous aurions résolu le problème mieux que tous les autres pays vu que nous mettons des semelles à tout le monde et traitons la population entière à grand coup d’électricité ou autres ondes électromagnétiques.

Certaines personnes peuvent effectivement nous accompagner dans certaines sections de notre chemin de vie mais notre corps qui n’est pas le leurs nous parle de nous, pas de celui des autres.

(Bernard Tisné)

« Les croyances et les pensées modifient les cellules de votre corps. Plutôt que les gènes, ce sont nos croyances qui contrôlent nos vies.  » –  DR Bruce Lipton, biologiste.

Il y a des gens qui vivent avec des « colonnes vertébrales tordues » ou des petites hernies sans le savoir, et qui n’en souffrent pas. Tout ce que l’on croit, redoute, imagine ou nous inculque depuis l’enfance, se réalise sur le plan organique. Le cerveau est un disque dur d’ordinateur. Il reproduit exactement ce pour quoi il a été programmé.

L’équation est très simple pour lui. Dans l’inconscient collectif, colonne vertébrale tordue = mal de dos.

Dès l’instant où l’on est programmé avec cette affirmation par son entourage, par une radiographie ou par le corps médical, l’imagination va créer des complications ou une augmentation de la douleur qui n’existeraient pas forcément ou qui seraient très atténuées, si on n’en avait pas connaissance. On devient persuadé que l’on est malade ou « mal foutu » et on le devient.

« Toute idée que nous avons dans l’esprit tend à devenir une réalité. » – Emile Coué.

Combien de personnes de nos jours ont un travail physique réellement difficile? Le pourcentage est faible et devrait faire réfléchir sur les causes réelles des problèmes de dos. Le grand problème de notre siècle est le surmenage physique et intellectuel.

90% des contractions musculaires guérissent toutes seules en sept jours avec du repos. Une plaie bénigne ne guérit-t-elle pas toute seule en une semaine?

« Quand une articulation a été remise en place chez une personne jeune, elle se rééduque toute seule par le mouvement naturel et à son propre rythme. »

J’ai croisé personnellement au cours de mes voyages à travers le monde, des individus qui portaient des charges très lourdes dans les montagnes de l’Himalaya ou de la cordillère des Andes, des femmes Africaines avec des charges très lourdes sur la tête ou des bossus qui n’avaient pas mal au dos.

Les radios de ces personnes étaient certainement catastrophiques, mais elles l’ignoraient et ne se plaignaient pas outre mesure. Preuve en est que la rectitude de la colonne n’est pas une condition absolue à l’absence de douleurs.

Le dos est le reflet de notre esprit et quand les racines de l’esprit sont fortes, qu’importe que la colonne soit légèrement courbé

Équilibre vertébral et posture

Si une seule structure ne peut remplir son potentiel de mobilité et d’élasticité (subluxation), les autres parties du corps vont être obligées de compenser.

L’équilibre vertébral est un concept qui décrit l’alignement idéal des vertèbres et des articulations qui la soutiennent. Cela permet à la colonne vertébrale de fonctionner de manière optimale et à l’individu de prévenir les douleurs et les blessures liées à un mauvais alignement.

Un bon équilibre vertébral peut être atteint à l’aide d’une variété de méthodes, notamment l’exercice, les étirements, la thérapie physique et les traitements manuels. L’équilibre vertébral est essentiel pour maintenir une bonne santé et une posture correcte.

La posture fait référence à l’alignement et au positionnement du corps par rapport à la gravité.

Une bonne posture implique de maintenir un alignement équilibré et symétrique du corps, ce qui peut aider à réduire la tension sur les muscles et les articulations, à améliorer la respiration et à améliorer le bien-être physique et émotionnel général.

Une mauvaise posture, en revanche, peut entraîner divers problèmes tels que des maux de dos, des maux de tête et une mauvaise respiration, entre autres. Le maintien d’une bonne posture est important pour la santé globale et peut être réalisé par des exercices, des étirements et des efforts conscients pour maintenir un alignement équilibré. (En savoir plus)

La respiration a une influence fondamentale sur la position du squelette. La posture et la respiration sont si intrinsèquement liées qu’elles ne font qu’un.

Contrairement à la croyance populaire, la posture est contrôlée par le cerveau.

« Plus une personne est déformée mécaniquement, moins il y a d’énergie disponible pour la réflexion, le métabolisme et la guérison ». – Dr Roger Sperry.

La Posture, c’est les émotions.

En 1981, le Dr Roger Sperry, neurologiste a remporté le prix Nobel de médecine lorsqu’il a découvert que 90% de l’énergie produite par le cerveau est utilisée pour équilibrer notre corps dans le champ gravitationnel de la Terre.

Les résultats de ses recherches ont démontré que si notre corps est déformé mécaniquement (déséquilibre), il commence à affecter les 10% de l’activité du cerveau qui contrôle toutes les autres fonctions du corps, telles que la respiration, la circulation, la digestion, la production d’hormones, etc.

Les centres de contrôle postural dans le cerveau couvrent principalement deux zones: le cervelet et le tronc cérébral.

Le cervelet reçoit des messages sur la position du corps de l’oreille interne, des yeux, des muscles et des articulations, et envoie des informations pour effectuer les ajustements posturaux nécessaires au maintien de l’équilibre.

Son action conjointe avec le tronc cérébral parvient à nous maintenir debout, équilibrés par rapport à la gravité, en vérifiant constamment les capteurs qui détectent les réactions de notre corps et de notre environnement.

Si, avec le temps, des problèmes surviennent à n’importe quel niveau, le corps essaiera d’abord de compenser d’une manière ou d’une autre jusqu’à ce qu’il le puisse (épaule la plus haute, rotations du bassin, attitudes de la scoliose, tête inclinée en avant).

A un certain moment, cependant, cette capacité à compenser atteindra sa limite. Elle sera constituée par la somme de ces ajustements et fera apparaître les premiers signes d’un dérèglement des chaines musculaires avec toutes les conséquences que cela entraine, (maux de tête, cervicalgies, névralgies, défauts de mastication et d’occlusion dentaire, mal de dos, lumbagos, sciatiques, douleurs d’épaules, bras, hanches, genoux, à la cheville).

Nerfs « déplacés », coincés ou pincés

« En trouvant la vertèbre particulière qui s’est déplacée et en la restaurant à sa position naturelle, l’ajustement libère ainsi le flux naturel de l’influx nerveux. » – BJ Palmer, fils du fondateur de la Chiropraxie.

Les nerfs coincés ou pincés sont des troubles communs qui peuvent causer de la douleur, de la faiblesse, de la paralysie ou des troubles sensitifs. Les nerfs peuvent être pincés ou coincés à différents endroits dans le corps, comme au niveau des articulations, des disques intervertébraux ou des tendons.

Les causes les plus courantes de nerfs pincés ou coincés sont les traumatismes, les maladies dégénératives, les tumeurs et les anomalies congénitales. Les symptômes varient en fonction de l’emplacement et de la gravité de la compression nerveuse.

Les nerfs partent du cerveau vers la moelle épinière avant de s’étendre à diverses parties du corps et à chaque extrémité.

Si une ou plusieurs vertèbres sont mal alignées, la racine nerveuse sortant entre deux vertèbres peut être écrasée par la courbure exagérée de la colonne vertébrale et la fonction nerveuse normale peut être altérée. 

Lorsque le tissu autour d’un nerf est pressé ou «pincé» contre ce nerf, cela provoque une inflammation et une douleur et une perte d’informations pour les parties (organes, muscles, tissus) avec lesquelles il est en relation.

Cet effet de pincement peut causer de la douleur, de l’inconfort et des maladies non seulement dans le dos, mais dans les parties du corps, les organes ou les glandes desservies par cette compression avec perte de l’influx nerveux des nerfs affectés avec pour conséquences des vertiges, névralgies d’Arnold ou mal positionnement de l’Atlas etc…

Les traitements pour les nerfs pincés ou coincés varient également en fonction de la cause sous-jacente, mais peuvent inclure la physiothérapie, l’ostéopathie, la chirurgie, les injections de corticoïdes, et les analgésiques.

En tant que spécialistes de la colonne vertébrale et des nerfs, les Ostéopathes ou les Chiropraticiens ont remplacé les Rebouteux d’autrefois souvent agriculteurs qui « remettaient les nerfs en place ». Les gens dans les campagnes se disaient souvent entre eux, je me suis déplacé un nerf ou j’ai un nerf froissé, je vais me faire remettre en place ce nerf et ils allaient chez un rebouteux connu de tous pour son habilité à « débloquer les articulations.

J’ai connu personnellement au cours de mes voyages des rebouteux qui étaient excellents et remettaient en place une cheville, une épaule ou soignaient une sciatique en à peine quelques minutes avec une connaissance empirique transmise depuis plusieurs générations.

Ces personnes faisaient une sélection de par leurs expériences des techniques ayant fait leurs preuves au fil des siècles et les techniques qui ne fonctionnaient pas étaient abandonnées.

Les temps ont changé et les praticiens modernes ont pris la relève et sont capables eux aussi d’ajuster les vertèbres mal alignées pour les repositionner correctement et ainsi débarrasser les nerfs affectés de l’irritation due à leurs écrasements.

Ces nerfs une fois libérés peuvent à nouveau fonctionner correctement et aider le corps à guérir de ses propres blessures et à maintenir sa propre santé.

Vertèbres Déplacées

« Le devoir du praticien n’est pas de guérir le malade mais d’ajuster une partie ou l’ensemble du système afin que les fleuves de la vie puissent s’écouler et irriguer les champs desséchés » – Andrew Taylor Still, fondateur de l’Ostéopathie.

Les vertèbres déplacées, également connues sous le nom de subluxations vertébrales, se produisent lorsque l’une ou plusieurs vertèbres sont déplacées de leur position normale. Cela peut entraîner des douleurs, des engourdissements, des picotements et des faiblesses dans les bras ou les jambes.

Les subluxations vertébrales peuvent être causées par des traumatismes, des mouvements brusques, des mauvaises postures ou des troubles de la colonne vertébrale tels que l’arthrite.

Les vertèbres déplacées sont une condition qui peut être causée par une variété de facteurs, notamment les blessures, l’usure naturelle, les mauvaises postures et les mouvements répétitifs. Les symptômes peuvent comprendre la douleur, l’engourdissement, la faiblesse et des problèmes de posture.

Les vertèbres déplacées peuvent être traitées par des ajustements manuels ou par des exercices de renforcement. Les médicaments, l’Ostéopathie et la physiothérapie sont également des options de traitement possibles.

Il existe une légende : celle de la vertèbre déplacée, dans laquelle il est dit que l’Ostéopathie manipulatrice ou la Chiropractie replacent les vertèbres.

C’est une notion qui a été acceptée par les Patients ainsi que par les Médecins car les personnes préfèrent les choses simples mais la réalité est beaucoup plus complexe.

On a besoin d’être rassuré. Si on a mal quelque part, ce n’est pas grave, c’est le hasard et un incident sans conséquence… Même quand cela se répète assez souvent on ne veut pas admettre ou croire que ce soit le fait d’une faiblesse déterminée.

Dans ces conditions, pourquoi se poser des questions ? J’ai une vertèbre de travers mais pas de problème, je vais me la faire remettre en place et tout ira pour le mieux et je serai à nouveau neuf et opérationnel.

Mais oui voilà ! Personne n’a jamais pu, à l’aide d’une radio, nous faire voir une vertèbre déplacée. Et ce, malgré notre technologie à la pointe de l’imagerie, les vertèbres déplacées restent désespérément invisibles.

A moins d’un choc très violent (accident de la route, chute d’une échelle etc…), une vertèbre ne peut pas se déplacer. Le terme de subluxation qui désigne tout simplement un dysfonctionnement articulaire est plus correct.

Jouer à se faire craquer les doigts n’est pas un traitement car le craquement ne soigne pas ! Ce serait beaucoup trop simple.

Ce que l’on prend et que l’on soigne généralement par une manipulation n’est pas un problème d’os contrairement à ce que les gens croient mais c’est habituellement une petite entorse, autrement dit un étirement ligamentaire, que les experts nomment « dérangement vertébral mineur ».

Par voie réflexe cet étirement ligamentaire déclenche une contracture musculaire douloureuse qui correspond au réflexe de défense salutaire des muscles autour de la colonne pour immobiliser celle-ci et l’inhiber dans ses mouvements qui seraient douloureux ou qui amplifieraient la déchirure ligamentaire donc le déséquilibre de la colonne.

Le corps est intelligent et génère donc un moindre mal volontairement, la contracture musculaire afin de protéger la colonne vertébrale et son contenu, la moelle épinière et les nerfs.

Ce qu’il faut déterminer c’est pourquoi dans cette zone et à ce moment précis ?

Comme chacun le sait, quand on l’a vécu, la contracture musculaire douloureuse se propage sur une grande distance : de ce fait on a mal tout le long du dos ou du cou et bien au-delà d’une articulation entre deux vertèbres, nous faisant dire que ce n’est pas un problème localisé.

Il n’existe pas de vertèbres isolées donc ce qu’il est nécessaire de déterminer, c’est de comprendre ce qui a provoqué ce dérangement vertébral.

La question c’est pourquoi un mouvement fait quotidiennement sans problème, ou un mouvement que les autres font sans incidence, ou un mouvement normal, devient-il source de problème à ce moment précis et ce jour-là ?

Mais surtout pourquoi est-ce dans cette zone précise ? Le corps étant composé de 33 vertèbres, pourquoi cette vertèbre là fait-elle mal et pas celle d’ à côté ? Et pourquoi chez une même personne c’est fréquemment la même vertèbre qui fait mal ?

Le raisonnement à se poser est le suivant:

Quelles sont les chaines musculaires qui sont reliées à cette vertèbre pour qu’elles ne remplissent plus leur rôle normal de fonctionnement et pour que naisse cette faiblesse d’adaptation à la vie de tous les jours ou à l’effort ?

« Les chaînes musculaires sont des groupes de muscles et de tissus mous qui sont liés et fonctionnent de manière interconnectée. C’est un concept en ostéopathie qui décrit un système de groupes musculaires reliés entre eux par des fascias, des membranes conjonctives qui enveloppent et complètent les structures du corps. Les chaînes musculaires peuvent être affectées par des blessures ou des mouvements répétés qui provoquent des contractions et des tensions.« 

On peut comparer les chaines musculaires à un chiffon. Quand on torsade le chiffon, ce n’est pas à l’endroit de la torsion que se localise la cause de la torsion, mais aux deux extrémités. Se focaliser à redresser la torsion ne résout rien, car les deux extrémités restent en tension.

De même qu’une opération pour une sciatique ne peut pas engendrer un rééquilibrage du corps. On supprime le problème local et c’est déjà très important pour enlever la douleur mais les tensions qui ont donné naissance à cette hernie discale sont toujours en place.

Quand on enlève un bout d’amortisseur la pression se fait plus importante sur les autres parties. L’intervention astreint les articulations adjacentes à bouger plus, et finalement à souffrir tôt ou tard.

La libération des contractions musculaires ayant engendré cette hernie est absolument indispensable en complément de l’intervention chirurgicale. Enlever le bout qui fait mal et qui dépasse sans se préoccuper du reste ne règle le problème qu’à moitié.

Cette levée des tensions peut se faire directement ou de façon réflexe à intervalle du trouble car il existe aussi des tensions dans les organes qui peuvent traduire la maladie de l’organe lui même mais aussi parfois des troubles du fonctionnement de l’organe pouvant arriver de façon réflexe simple par un dysfonctionnement de la vertèbre en ligne droite avec cet organe, ou se présenter par un dysfonctionnement d’une vertèbre plus éloignée (voire d’un autre organe).

Trust ou Craquements Articulaires

« Tous les médicaments du monde ne peuvent pas ajuster une vertèbre subluxée. » – BJ Palmer, fils du fondateur de la Chiropraxie.

En aucun cas ce ne sont les os qui se frottent les uns contre les autres. Il n’y a aucun danger contrairement à beaucoup d’idées reçues.

Après une libération articulaire, il y a une différence dans l’espacement des articulations, la libération augmentant la distance entre les surfaces articulaires va diminuer la pression de la synovie (liquide articulaire) entrainant la libération d’une bulle de gaz qui en se libérant va provoquer un son: la cavitation.

On peut comparer ce phénomène avec le bruit que fait l’ouverture d’une bouteille de champagne. Ce n’est le liquide, ni le bouchon qui font le bruit mais la libération de la pression et du gaz qui s’éjectent en ouvrant la bouteille.

« L’alpha et l’oméga de toute thérapie est de respirer à fond »

Georg Groddeck

Ostéopathie Respiratoire

(Méthode personnelle)

En travaillant sur le mouvement respiratoire et le diaphragme, il est possible de libérer les tensions du corps, avec un effet positif sur le système nerveux et la régulation du stress, ce qui peut aider à réduire les symptômes de l’anxiété et de la dépression.

De plus, en relançant la circulation sanguine et la circulation lymphatique, la Méthode Kyma peut aider à détoxifier le corps et libérer les hormones du stress et contribuer à une sensation générale de relaxation et de bien-être.

Cette réduction du stress peut également renforcer le système immunitaire.

Un diaphragme bloqué peut faire référence à un certain nombre de conditions différentes qui affectent le diaphragme, le muscle qui sépare la poitrine de l’abdomen et joue un rôle crucial dans la respiration.

Certaines causes possibles d’un diaphragme bloqué comprennent des blessures, des lésions nerveuses ou une accumulation de liquide ou de tissu dans la région.

Les symptômes peuvent inclure un essoufflement, des douleurs thoraciques et des difficultés respiratoires. (Nous faisons ici référence à un diaphragme bloqué par le stress ou les émotions de la vie.)

Celui qui ne respire pas pleinement ne vit pas: il survit.

Redressez vous, dépliez vous, respirez sans contraintes et guérissez vos blessures

Le diaphragme, muscle respiratoire principal, s’attache à la fois à la cage thoracique et à la colonne vertébrale, ce qui lui confère une fonction secondaire de stabilisateur vertébral. Son influence est considérable sur la position du squelette et l’équilibre vertébral.

Déblocage du diaphragme, du plexus solaire et de l’oppression respiratoire.

Le cœur est le siège des émotions et le Péricarde est l’enveloppe qui le protège. Il se contracte avec le diaphragme en réaction au stress et aux impacts émotionnels avec pour conséquences une perturbation du rythme respiratoire, un manque d’énergie, une fatigue importante et une sensation d’étouffement ou d’oppression thoracique, un déséquilibre de la posture corporelle.

(Plus d’infos sur la Méthode Kyma)

Quand vous libérez le Péricarde (cœur émotionnel) et les nœuds du diaphragme, vous libérez le souffle et relancez le mouvement respiratoire à son juste rythme et faites ainsi vôtre, l’adage de Still et sa règle de l’artère sur la circulation du sang.

(Plus d’infos sur le diaphragme bloqué)

Le plexus solaire est un réseau complexe de nerfs et de muscles qui relie le tronc au diaphragme. La libération du plexus solaire consiste à rétablir la mobilité et la souplesse de ce réseau afin de réduire les douleurs et le stress. Elle peut peut être réalisée par l’ostéopathie, qui utilise des techniques manuelles douces pour relâcher les tensions et débloquer les restrictions, permettant ainsi au corps de retrouver son équilibre naturel.

Cette méthode personnelle de libération du diaphragme et du plexus solaire est unique. Elle n’a aucun rapport de près ou de loin avec l’Ostéopathie, la Cohérence cardiaque ou les techniques de respirations du Yoga ou Pranayama.

Le diaphragme débloqué entrainera une expiration plus profonde et une respiration plus lente, de sorte que les nerfs parasympathiques domineront. On pourra s’attendre à divers effets tels que l’amélioration de la qualité du sommeil, de la digestion et le soulagement du stress.

De plus, cette respiration profonde détendra le corps et dilatera les vaisseaux sanguins. La circulation du sang et de la lymphe, le métabolisme et le système immunitaire seront améliorés eux aussi.

La respiration et les émotions sont étroitement liées. En effet, la respiration est un moyen très efficace pour réguler ses émotions. Une respiration profonde peut aider à réduire le stress, la colère et l’anxiété et à stimuler des sentiments de calme et de sérénité.

Les exercices de respiration peuvent également aider à mieux se concentrer et à être plus conscient des émotions et des sensations corporelles.

De manière générale, une bonne respiration est importante pour maintenir un état d’esprit sain et une bonne santé mentale. (Pour en savoir plus).

« Dans le ciel comme sur la terre tout respire.

La respiration est le fil qui relie toute la création. »

Morihei Ueshiba

Cours Ostéopathie et Méthode Kyma

Cours et formations pour les professionnels ( Paris – Genève – Lille ). Dates et lieux des cours.

Partenariat et Conseils

Bernard Tisné est consultant thérapeutique de VitCnat, Numéro 1 du e-commerce de l’acide L-ascorbique en poudre, (Vitamine C).

Entreprise fondée avec Stéphane Leprout, spécialiste reconnu de la vitamine C en France – 7 place de l’ancien Foirail – 32410 Castéra Verduzan – Tel: 05 62 68 02 05

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