Ostéopathie Structurelle et Respiratoire – Fasciathérapie

(Torticolis, sciatiques, dorsalgies, lumbagos, entorses, etc)

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Le corps est un instrument de musique qu’il suffit d’accorder.

Bernard Tisné,

Ostéopathe D.O exclusif depuis 37 ans, né en 1957, enseignant et créateur de la Méthode Kyma qui réunit la Libération Émotionnelle et les Thérapies Manuelles et Respiratoires, (méthode personnelle).

Spécialiste des Manipulations Vertébrales ou Structurelles ainsi que des Thérapies Manuelles Asiatiques ( Tuina, Chi Nei Tsang, Shiatsu, etc…) acquises au cours de nombreux voyages en Europe, Asie et à travers le monde.

Ces différentes techniques complémentaires à l’Ostéopathie sont des techniques que j’ai étudié pendant mes nombreux voyages en Europe, en Asie en Amérique du Sud ou pendant mes 14 années passées en Afrique auprès de gens qui étant coupés du monde pendant des siècles ont développé des techniques différentes de celles de l’occident qu’ils ont codifié et expérimenté au fil des époques.

  • 13, impasse des Glycines – 65310 Horgues (4 km de Tarbes, direction Bagnères de Bigorre, dans les Hautes Pyrénées) – Tel: 06 80 30 08 80

( En activité depuis 37 ans )

L’intuition corporelle en ostéopathie n’a rien à voir avec la routine, elle relève d’un état d’esprit libéré de tout conditionnement gestuel qui est au-delà de la technique. Il faut laisser la main s’exprimer et oublier tout ce qu’elle a appris pour ne laisser place qu’à l’intuition.

C’est en oubliant les techniques que le Thérapeute peut agir sur la base de son seul instinct mais pour oublier ces techniques, il faut au préalable les avoir étudiées et arrivé à ce stade, il n’y a plus de techniques.

(Bernard Tisné)

La Rencontre du Passé, de l’Orient et de l’Occident

Le fait d’opposer par convictions ou idéologies thérapeutiques les manipulations ou ajustements avec bruits articulaires (manipulations dites « structurelles ») aux manipulations sans bruits articulaires (manipulations dites « soft » ou « douces ») est un débat inutile.

C’est uniquement la pathologie et l’âge du patient qui détermine le type de techniques à employer et rendent légitimes les innombrables méthodes de traitements.

On ne cale pas un bassin comme on cale un meuble.

Le travail du Thérapeute consiste à trouver l’endroit qui vit sous stress depuis un certain temps, de le libérer, de le corriger et de le remettre en mouvement pour qu’il retrouve l’élasticité et la flexibilité des tissus qui ont disparu avec le temps.

Les techniques que j’emploie sont le contraire de toutes les techniques traditionnelles. Elles ne doivent en aucun cas être comparées aux méthodes classiques car la localisation des pressions ainsi que leurs puissances ne sont pas standardisées et varient constamment d’un individu à l’autre.

Ces techniques sont basées sur la vitesse et la vélocité pour empêcher le cerveau de se concentrer sur un point précis du corps. Je ne cherche pas à calmer le corps ou à le détendre mais au contraire à le réveiller.

Les trajets suivis et la direction des pressions n’ont aucun rapport avec les méridiens d’acupuncture ou la médecine traditionnelle chinoise (MTC).

Elles ont pour but de remuer profondément certains muscles selon un ordre très particulier et avec une pression très calculée en fonction des zones annexes saines dans des endroits précis en suivant le trajet de certains nerfs pour les stimuler et ainsi leur permettre de redonner l’influx à certaines zones en sommeil.

Ce sont des techniques que j’ai étudié en complément de l’Ostéopathie pendant mes nombreux voyages en Europe, en Asie en Amérique du Sud ou pendant mes 14 années passées en Afrique auprès de gens qui étant coupés du monde pendant des siècles ont développé des techniques différentes de celles de l’occident qu’ils ont codifié et expérimenté au fil des époques.

Un corps sain est un corps qui bouge et qui respire normalement.

L’homme est ce qu’il pense.

« Ce qui ne s’exprime pas par des mots s’imprime, se répète et s’exprime par des maux.  » –  Anne Ancelin Schutzenberger.

L’Ostéopathie sans l’étude du comportement humain n’est rien. Le visible (contractions musculaires) n’est que le reflet de ce qui est invisible (contractions de l’esprit).

A une époque de conformisme, avoir un esprit scientifique et critique peut être considéré comme un trait antisocial, mais la science sans la critique est inconcevable, car la seule voie de l’objectivité scientifique est de questionner, non d’affirmer.

Vous avez de l’arthrose, mais qui n’en a pas à partir de 35 ou 40 ans? Une protrusion discale, un léger pincement vertébral, un tassement de vertèbres, des becs de perroquets, un bassin décalé, une jambe plus courte et vous êtes tordu car votre colonne vertébrale n’est soi-disant pas droite? Quel est celui d’entre nous qui n’a pas au moins un de ces symptômes?

S’il y a une seule chose, que je devrais retenir de toutes mes années de voyages à travers le monde bernard-tisne.com/parcours, c’est bien celle ci: l’Univers est un immense placebo.

Chaque expérience, chaque souvenir, chaque croyance et chaque habitude se conjuguent avec nos gènes pour faire l’individu unique que nous sommes et le corps s’adaptera comme il peut à la vie que nous vivons.

Les pensées positives ou négatives façonnent notre biologie et notre état de santé.

« Les croyances et les pensées modifient les cellules de votre corps. Plutôt que les gènes, ce sont nos croyances qui contrôlent nos vies.  » –  DR Bruce Lipton, biologiste.

Il y a des gens qui vivent avec des « colonnes vertébrales tordues » ou des petites hernies sans le savoir, et qui n’en souffrent pas. Tout ce que l’on croit, redoute, imagine ou nous inculque depuis l’enfance, se réalise sur le plan organique. Le cerveau est un disque dur d’ordinateur. Il reproduit exactement ce pour quoi il a été programmé.

L’équation est très simple pour lui. Dans l’inconscient collectif, colonne vertébrale tordue = mal de dos.

Dès l’instant où l’on est programmé avec cette affirmation par son entourage, par une radiographie ou par le corps médical, l’imagination va créer des complications ou une augmentation de la douleur qui n’existeraient pas forcément ou qui seraient très atténuées, si on n’en avait pas connaissance. On devient persuadé que l’on est malade ou « mal foutu » et on le devient.

« Toute idée que nous avons dans l’esprit tend à devenir une réalité. » – Emile Coué.

Combien de personnes de nos jours ont un travail physique réellement difficile? Le pourcentage est faible et devrait faire réfléchir sur les causes réelles des problèmes de dos. Le grand problème de notre siècle est le surmenage physique et intellectuel.

J’ai croisé personnellement au cours de mes voyages à travers le monde, des individus qui portaient des charges très lourdes dans les montagnes de l’Himalaya ou de la cordillère des Andes, des femmes Africaines avec des charges très lourdes sur la tête ou des bossus qui n’avaient pas mal au dos.

Les radios de ces personnes étaient certainement catastrophiques, mais elles l’ignoraient et ne se plaignaient pas outre mesure. Preuve en est que la rectitude de la colonne n’est pas une condition absolue à l’absence de douleurs.

Le dos est le reflet de notre esprit et quand les racines de l’esprit sont fortes, qu’importe que la colonne soit légèrement courbé

Équilibre vertébral et posture

L’équilibre vertébral est un concept qui décrit l’alignement idéal des vertèbres et des articulations qui la soutiennent. Cela permet à la colonne vertébrale de fonctionner de manière optimale et à l’individu de prévenir les douleurs et les blessures liées à un mauvais alignement.

Un bon équilibre vertébral peut être atteint à l’aide d’une variété de méthodes, notamment l’exercice, les étirements, la thérapie physique et les traitements manuels. L’équilibre vertébral est essentiel pour maintenir une bonne santé et une posture correcte.

La posture fait référence à l’alignement et au positionnement du corps par rapport à la gravité.

Une bonne posture implique de maintenir un alignement équilibré et symétrique du corps, ce qui peut aider à réduire la tension sur les muscles et les articulations, à améliorer la respiration et à améliorer le bien-être physique et émotionnel général.

Une mauvaise posture, en revanche, peut entraîner divers problèmes tels que des maux de dos, des maux de tête et une mauvaise respiration, entre autres. Le maintien d’une bonne posture est important pour la santé globale et peut être réalisé par des exercices, des étirements et des efforts conscients pour maintenir un alignement équilibré. (En savoir plus)

La Posture, c’est les émotions

Contrairement à la croyance populaire, la posture est contrôlée par le cerveau.

« Plus une personne est déformée mécaniquement, moins il y a d’énergie disponible pour la réflexion, le métabolisme et la guérison ». – Dr Roger Sperry.

En 1981, le Dr Roger Sperry, neurologiste a remporté le prix Nobel de médecine lorsqu’il a découvert que 90% de l’énergie produite par le cerveau est utilisée pour équilibrer notre corps dans le champ gravitationnel de la Terre.

Les résultats de ses recherches ont démontré que si notre corps est déformé mécaniquement (déséquilibre), il commence à affecter les 10% de l’activité du cerveau qui contrôle toutes les autres fonctions du corps, telles que la respiration, la circulation, la digestion, la production d’hormones, etc.

Les centres de contrôle postural dans le cerveau couvrent principalement deux zones: le cervelet et le tronc cérébral.

Le cervelet reçoit des messages sur la position du corps de l’oreille interne, des yeux, des muscles et des articulations, et envoie des informations pour effectuer les ajustements posturaux nécessaires au maintien de l’équilibre.

Son action conjointe avec le tronc cérébral parvient à nous maintenir debout, équilibrés par rapport à la gravité, en vérifiant constamment les capteurs qui détectent les réactions de notre corps et de notre environnement.

Si, avec le temps, des problèmes surviennent à n’importe quel niveau, le corps essaiera d’abord de compenser d’une manière ou d’une autre jusqu’à ce qu’il le puisse (épaule la plus haute, rotations du bassin, attitudes de la scoliose, tête inclinée en avant).

A un certain moment, cependant, cette capacité à compenser atteindra sa limite. Elle sera constituée par la somme de ces ajustements et fera apparaître les premiers signes d’un dérèglement des chaines musculaires avec toutes les conséquences que cela entraine, (maux de tête, cervicalgie, névralgie, défauts de mastication et d’occlusion dentaire, mal de dos, lumbago, sciatique, douleur d’épaule, bras, hanches, genoux, à la cheville).

Nerfs « déplacés », coincés ou pincés

« En trouvant la vertèbre particulière qui s’est déplacée et en la restaurant à sa position naturelle, l’ajustement libère ainsi le flux naturel de l’influx nerveux. » – BJ Palmer, fils du fondateur de la Chiropraxie.

Les nerfs coincés ou pincés sont des troubles communs qui peuvent causer de la douleur, de la faiblesse, de la paralysie ou des troubles sensitifs. Les nerfs peuvent être pincés ou coincés à différents endroits dans le corps, comme au niveau des articulations, des disques intervertébraux ou des tendons.

Les causes les plus courantes de nerfs pincés ou coincés sont les traumatismes, les maladies dégénératives, les tumeurs et les anomalies congénitales. Les symptômes varient en fonction de l’emplacement et de la gravité de la compression nerveuse.

Les nerfs partent du cerveau vers la moelle épinière avant de s’étendre à diverses parties du corps et à chaque extrémité.

Si une ou plusieurs vertèbres sont mal alignées, la racine nerveuse sortant entre deux vertèbres peut être écrasée par la courbure exagérée de la colonne vertébrale et la fonction nerveuse normale peut être altérée. 

Si une ou plusieurs vertèbres sont mal alignées, la racine nerveuse sortant entre deux vertèbres peut être écrasée par la courbure exagérée de la colonne vertébrale et la fonction nerveuse normale peut être altérée. 

Lorsque le tissu autour d’un nerf est pressé ou «pincé» contre ce nerf, cela provoque une inflammation et une douleur et une perte d’informations pour les parties (organes, muscles, tissus) avec lesquelles il est en relation.

Cet effet de pincement peut causer de la douleur, de l’inconfort et des maladies non seulement dans le dos, mais dans les parties du corps, les organes ou les glandes desservies par cette compression avec perte de l’influx nerveux des nerfs affectés.

Les traitements pour les nerfs pincés ou coincés varient également en fonction de la cause sous-jacente, mais peuvent inclure la physiothérapie, l’ostéopathie, la chirurgie, les injections de corticoïdes, et les analgésiques.

En tant que spécialistes de la colonne vertébrale et des nerfs, les Ostéopathes ou les Chiropraticiens ont remplacé les Rebouteux d’autrefois souvent agriculteurs qui « remettaient les nerfs en place ». Les gens dans les campagnes se disaient souvent entre eux, je me suis déplacé un nerf ou j’ai un nerf froissé, je vais me faire remettre en place ce nerf et ils allaient chez un rebouteux connu de tous pour son habilité à « débloquer les articulations ».

J’ai connu personnellement au cours de mes voyages des rebouteux qui étaient excellents et remettaient en place une cheville, une épaule ou soignaient une sciatique en à peine quelques minutes avec une connaissance empirique transmise depuis plusieurs générations.

Ces personnes faisaient une sélection de par leurs expériences des techniques ayant fait leurs preuves au fil des siècles et les techniques qui ne fonctionnaient pas étaient abandonnées.

Les temps ont changé et les praticiens modernes ont pris la relève et sont capables eux aussi d’ajuster les vertèbres mal alignées pour les repositionner correctement et ainsi débarrasser les nerfs affectés de l’irritation due à leurs écrasements.

Ces nerfs une fois libérés peuvent à nouveau fonctionner correctement et aider le corps à guérir de ses propres blessures et à maintenir sa propre santé.

Vertèbres Déplacées

« Le devoir du praticien n’est pas de guérir le malade mais d’ajuster une partie ou l’ensemble du système afin que les fleuves de la vie puissent s’écouler et irriguer les champs desséchés » – Andrew Taylor Still, fondateur de l’Ostéopathie.

Les vertèbres déplacées, également connues sous le nom de subluxations vertébrales, se produisent lorsque l’une ou plusieurs vertèbres sont déplacées de leur position normale. Cela peut entraîner des douleurs, des engourdissements, des picotements et des faiblesses dans les bras ou les jambes.

Les subluxations vertébrales peuvent être causées par des traumatismes, des mouvements brusques, des mauvaises postures ou des troubles de la colonne vertébrale tels que l’arthrite.

Les vertèbres déplacées sont une condition qui peut être causée par une variété de facteurs, notamment les blessures, l’usure naturelle, les mauvaises postures et les mouvements répétitifs. Les symptômes peuvent comprendre la douleur, l’engourdissement, la faiblesse et des problèmes de posture.

Les vertèbres déplacées peuvent être traitées par des ajustements manuels ou par des exercices de renforcement. Les médicaments, l’Ostéopathie et la physiothérapie sont également des options de traitement possibles.

Il existe une légende : celle de la vertèbre déplacée, dans laquelle il est dit que l’Ostéopathie manipulatrice ou la Chiropractie replacent les vertèbres.

C’est une notion qui a été acceptée par les Patients ainsi que par les Médecins car les personnes préfèrent les choses simples mais la réalité est beaucoup plus complexe.

On a besoin d’être rassuré. Si on a mal quelque part, ce n’est pas grave, c’est le hasard et un incident sans conséquence… Même quand cela se répète assez souvent on ne veut pas admettre ou croire que ce soit le fait d’une faiblesse déterminée.

Dans ces conditions, pourquoi se poser des questions ? J’ai une vertèbre de travers mais pas de problème, je vais me la faire remettre en place et tout ira pour le mieux et je serai à nouveau neuf et opérationnel.

Mais oui voilà ! Personne n’a jamais pu, à l’aide d’une radio, nous faire voir une vertèbre déplacée. Et ce, malgré notre technologie à la pointe de l’imagerie, les vertèbres déplacées restent désespérément invisibles.

A moins d’un choc très violent (accident de la route, chute d’une échelle etc…), une vertèbre ne peut pas se déplacer. Le terme de subluxation qui désigne tout simplement un dysfonctionnement articulaire est plus correct.

Jouer à se faire craquer les doigts n’est pas un traitement car le craquement ne soigne pas ! Ce serait beaucoup trop simple.

Ce que l’on prend et que l’on soigne généralement par une manipulation n’est pas un problème d’os contrairement à ce que les gens croient mais c’est habituellement une petite entorse, autrement dit un étirement ligamentaire, que les experts nomment « dérangement vertébral mineur ».

Par voie réflexe cet étirement ligamentaire déclenche une contracture musculaire douloureuse qui correspond au réflexe de défense salutaire des muscles autour de la colonne pour immobiliser celle-ci et l’inhiber dans ses mouvements qui seraient douloureux ou qui amplifieraient la déchirure ligamentaire donc le déséquilibre de la colonne.

Le corps est intelligent et génère donc un moindre mal volontairement, la contracture musculaire afin de protéger la colonne vertébrale et son contenu, la moelle épinière et les nerfs.

Ce qu’il faut déterminer c’est pourquoi dans cette zone et à ce moment précis ?

Comme chacun le sait, quand on l’a vécu, la contracture musculaire douloureuse se propage sur une grande distance : de ce fait on a mal tout le long du dos ou du cou et bien au-delà d’une articulation entre deux vertèbres, nous faisant dire que ce n’est pas un problème localisé.

Il n’existe pas de vertèbres isolées donc ce qu’il est nécessaire de déterminer, c’est de comprendre ce qui a provoqué ce dérangement vertébral.

La question c’est pourquoi un mouvement fait quotidiennement sans problème, ou un mouvement que les autres font sans incidence, ou un mouvement normal, devient-il source de problème à ce moment précis et ce jour-là ?

Mais surtout pourquoi est-ce dans cette zone précise ? Le corps étant composé de 33 vertèbres, pourquoi cette vertèbre là fait-elle mal et pas celle d’ à côté ? Et pourquoi chez une même personne c’est fréquemment la même vertèbre qui fait mal ?

Le raisonnement à se poser est le suivant:

Quelles sont les chaines musculaires qui sont reliées à cette vertèbre pour qu’elles ne remplissent plus leur rôle normal de fonctionnement et pour que naisse cette faiblesse d’adaptation à la vie de tous les jours ou à l’effort ?

« Les chaînes musculaires sont des groupes de muscles et de tissus mous qui sont liés et fonctionnent de manière interconnectée. C’est un concept en ostéopathie qui décrit un système de groupes musculaires reliés entre eux par des fascias, des membranes conjonctives qui enveloppent et complètent les structures du corps. Les chaînes musculaires peuvent être affectées par des blessures ou des mouvements répétés qui provoquent des contractions et des tensions.« 

On peut comparer les chaines musculaires à un chiffon. Quand on torsade le chiffon, ce n’est pas à l’endroit de la torsion que se localise la cause de la torsion, mais aux deux extrémités. Se focaliser à redresser la torsion ne résout rien, car les deux extrémités restent en tension.

De même qu’une opération pour une sciatique ne peut pas engendrer un rééquilibrage du corps. On supprime le problème local et c’est déjà très important pour enlever la douleur mais les tensions qui ont donné naissance à cette hernie discale sont toujours en place.

Quand on enlève un bout d’amortisseur la pression se fait plus importante sur les autres parties. L’intervention astreint les articulations adjacentes à bouger plus, et finalement à souffrir tôt ou tard.

La libération des contractions musculaires ayant engendré cette hernie est absolument indispensable en complément de l’intervention chirurgicale. Enlever le bout qui fait mal et qui dépasse sans se préoccuper du reste ne règle le problème qu’à moitié.

Cette levée des tensions peut se faire directement ou de façon réflexe à intervalle du trouble car il existe aussi des tensions dans les organes qui peuvent traduire la maladie de l’organe lui même mais aussi parfois des troubles du fonctionnement de l’organe pouvant arriver de façon réflexe simple par un dysfonctionnement de la vertèbre en ligne droite avec cet organe, ou se présenter par un dysfonctionnement d’une vertèbre plus éloignée (voire d’un autre organe).

Trust ou Craquements Articulaires

« Tous les médicaments du monde ne peuvent pas ajuster une vertèbre subluxée. » – BJ Palmer, fils du fondateur de la Chiropraxie.

En aucun cas ce ne sont les os qui se frottent les uns contre les autres. Il n’y a aucun danger contrairement à beaucoup d’idées reçues.

Après une libération articulaire, il y a une différence dans l’espacement des articulations, la libération augmentant la distance entre les surfaces articulaires va diminuer la pression de la synovie (liquide articulaire) entrainant la libération d’une bulle de gaz qui en se libérant va provoquer un son: la cavitation.

On peut comparer ce phénomène avec le bruit que fait l’ouverture d’une bouteille de champagne. Ce n’est le liquide, ni le bouchon qui font le bruit mais la libération de la pression et du gaz qui s’éjectent en ouvrant la bouteille.

Méthode Kyma et diaphragme bloqué (méthode personnelle)

Celui qui ne respire pas pleinement ne vit pas. Il survit.

En travaillant sur le mouvement respiratoire et le diaphragme, il est possible de libérer les tensions du corps, avec un effet positif sur le système nerveux et la régulation du stress, ce qui peut aider à réduire les symptômes de l’anxiété et de la dépression.

De plus, en relançant la circulation sanguine et la circulation lymphatique, la Méthode Kyma peut aider à détoxifier le corps et libérer les hormones du stress et contribuer à une sensation générale de relaxation et de bien-être.

Cette réduction du stress peut également renforcer le système immunitaire.

Un diaphragme bloqué peut faire référence à un certain nombre de conditions différentes qui affectent le diaphragme, le muscle qui sépare la poitrine de l’abdomen et joue un rôle crucial dans la respiration.

Certaines causes possibles d’un diaphragme bloqué comprennent des blessures, des lésions nerveuses ou une accumulation de liquide ou de tissu dans la région.

Les symptômes peuvent inclure un essoufflement, des douleurs thoraciques et des difficultés respiratoires. (Nous faisons ici référence à un diaphragme bloqué par le stress ou les émotions de la vie.)

Redressez vous, dépliez vous, respirez sans contraintes et guérissez vos blessures

Le diaphragme, muscle respiratoire principal, s’attache à la fois à la cage thoracique et à la colonne vertébrale, ce qui lui confère une fonction secondaire de stabilisateur vertébral. Son influence est considérable sur la position du squelette et l’équilibre vertébral.

Déblocage du diaphragme, du plexus solaire et de l’oppression respiratoire.

Le cœur est le siège des émotions et le Péricarde est l’enveloppe qui le protège. Il se contracte avec le diaphragme en réaction au stress et aux impacts émotionnels avec pour conséquences une perturbation du rythme respiratoire, un manque d’énergie, une fatigue importante et une sensation d’étouffement ou d’oppression thoracique, un déséquilibre de la posture corporelle.

(Plus d’infos sur la Méthode Kyma)

Quand vous libérez le Péricarde (cœur émotionnel) et les nœuds du diaphragme, vous libérez le souffle et relancez le mouvement respiratoire à son juste rythme et faites ainsi vôtre, l’adage de Still et sa règle de l’artère sur la circulation du sang.

(Plus d’infos sur le diaphragme bloqué )

Le plexus solaire est un réseau complexe de nerfs et de muscles qui relie le tronc au diaphragme. La libération du plexus solaire consiste à rétablir la mobilité et la souplesse de ce réseau afin de réduire les douleurs et le stress. Elle peut peut être réalisée par l’ostéopathie, qui utilise des techniques manuelles douces pour relâcher les tensions et débloquer les restrictions, permettant ainsi au corps de retrouver son équilibre naturel.

Cette méthode personnelle de libération du diaphragme et du plexus solaire est unique. Elle n’a aucun rapport de près ou de loin avec l’Ostéopathie ou les techniques de respirations du Yoga ou Pranayama.

Le diaphragme débloqué entrainera une expiration plus profonde et une respiration plus lente, de sorte que les nerfs parasympathiques domineront. On pourra s’attendre à divers effets tels que l’amélioration de la qualité du sommeil, de la digestion et le soulagement du stress.

De plus, cette respiration profonde détendra le corps et dilatera les vaisseaux sanguins. La circulation du sang et de la lymphe, le métabolisme et le système immunitaire seront améliorés eux aussi.

La respiration et les émotions sont étroitement liées. En effet, la respiration est un moyen très efficace pour réguler ses émotions. Une respiration profonde peut aider à réduire le stress, la colère et l’anxiété et à stimuler des sentiments de calme et de sérénité.

Les exercices de respiration peuvent également aider à mieux se concentrer et à être plus conscient des émotions et des sensations corporelles.

De manière générale, une bonne respiration est importante pour maintenir un état d’esprit sain et une bonne santé mentale.

Le mouvement respiratoire est le processus par lequel l’air est inspiré et expiré par les poumons. Il est contrôlé par le système nerveux autonome et est essentiel à la respiration. La respiration permet aux cellules du corps d’obtenir l’oxygène dont elles ont besoin pour fonctionner et de rejeter le dioxyde de carbone qu’elles produisent.

Le mouvement respiratoire est divisé en deux phases principales: l’inspiration et l’expiration.

  • L’inspiration se produit lorsque les muscles respiratoires se relâchent et que les poumons s’ouvrent pour permettre à l’air de pénétrer dans les alvéoles pulmonaires. Les muscles de la poitrine et de l’abdomen se contractent pour augmenter la taille de la cage thoracique, ce qui permet à l’air de pénétrer dans les poumons.
  • L’expiration se produit lorsque les muscles respiratoires se contractent et que les poumons se referment pour relâcher l’air des alvéoles pulmonaires. Les muscles se relâchent pour réduire la taille de la cage thoracique, ce qui permet à l’air de sortir des poumons.

Contractions musculaires

La contraction musculaire fait référence à la tension ou au resserrement des muscles et des tendons. Les contractions musculaires peuvent causer des douleurs et des inconforts dans le dos. Les muscles du dos sont soumis à de fortes tensions en raison de la position assise prolongée, du surmenage et des mouvements répétitifs. Elles peuvent entraîner des douleurs aiguës ou chroniques, des raideurs et des spasmes dans le dos.

Elles peuvent également contribuer à des problèmes de dos plus graves, tels que les hernies discales, les sciatiques et les lombalgies ou aggraver des conditions existantes, telles que les troubles de la colonne vertébrale tels que la scoliose et la lordose.

Il est important de maintenir une bonne posture et de faire des exercices de renforcement et de flexibilité pour les muscles du dos pour prévenir les contractions musculaires et éviter les complications à long terme, telles que le développement d’une mauvaise posture, la faiblesse musculaire et la douleur chronique.

Il est également important de réduire les facteurs de stress. (En savoir plus)

L’ostéopathie est un système thérapeutique manuel basé sur l’évaluation et le traitement des dysfonctionnements de la structure corporelle pour améliorer la fonction.

Il existe deux types d’ostéopathie : fonctionnelle (douce) et structurelle (manipulations vertébrales)

Le fait d’opposer par convictions ou idéologies thérapeutiques les manipulations ou ajustements avec bruits articulaires (manipulations dites « structurelles ») aux manipulations sans bruits articulaires (manipulations dites « soft » ou « douces ») est un débat inutile.

C’est uniquement la pathologie et l’âge du patient qui détermine le type de techniques à employer et rendent légitimes les innombrables méthodes de traitements.

Le travail du Thérapeute consiste à trouver l’endroit qui vit sous stress depuis un certain temps, de le libérer, de le corriger et de le remettre en mouvement pour qu’il retrouve l’élasticité et la flexibilité des tissus qui ont disparu avec le temps.

L’ostéopathie douce est une forme d’ostéopathie qui se concentre sur la prise en charge des symptômes à travers des techniques douces et non invasives. Elle comprend des techniques telles que le travail sur les tissus mous et les techniques de libération viscérale, des étirements, des thérapies myofasciales et des conseils de réadaptation.

Cette forme d’ostéopathie est adaptée aux personnes âgées qui ne sont pas susceptibles de recevoir des traitements par manipulations vertébrales ou à celles même jeune qui souffrent de douleurs chroniques ou d’une blessure et qui peuvent avoir des restrictions de mouvement ou une mobilité limitée. Elle est utilisée pour traiter des symptômes aigus ou chroniques et pour soulager la douleur et améliorer la mobilité.

L’Ostéopathie structurelle, quant à elle, est une forme de traitement manuel qui vise à rétablir l’alignement et la mobilité des articulations, des muscles et des tissus mous en utilisant des techniques plus profondes et plus puissantes. Elle est principalement utilisée pour traiter des problèmes musculo-squelettiques tels que les douleurs articulaires, les entorses, les tendinites et les maux de dos.

Les ostéopathes structurels cherchent à comprendre la manière dont les différentes parties du corps interagissent et à identifier les déséquilibres qui peuvent causer des douleurs ou des limitations de mouvement.

Les techniques utilisées dans l’ostéopathie structurelle incluent des manipulations articulaires et musculaires, des étirements. L’objectif est de rétablir la mobilité normale des articulations, de réduire la douleur et d’améliorer la qualité de vie.

Les patients atteints de douleurs chroniques, de troubles de la colonne vertébrale, de maux de tête, de douleurs articulaires, de problèmes de posture, de troubles digestifs, de troubles de l’équilibre et de troubles respiratoires peuvent bénéficier de l’ostéopathie structurelle.

Rebound effect ou Effet Rebond

Un soulagement immédiat après le traitement Ostéopathique peut entraîner des douleurs et de la fatigue. Ce phénomène pas obligatoire sur tous les patients est connu et appelé l’effet rebond.

Une augmentation passagère de la douleur est possible dans la zone concernée ainsi que dans les zones environnantes au-dessus et au-dessous de la douleur d’origine.

Une étude a été faite et a démontré que 10 à 20% des patients ont constaté une augmentation de la douleur ou des symptômes arprès une consultation. La plupart de ces troubles (douleurs musculaires, courbatures etc.) disparaissent spontanément dans les 24 à 36 heures après le traitement.

L’effet de rebond est simplement une aggravation temporaire des symptômes. Ces symptômes peuvent survenir et varier en intensité en raison de différents facteurs.

  • La fatigue est fréquente après une consultation parce que le corps a besoin d’énergie pour traiter les changements provoqués par le traitement. Le repos est le meilleur antidote à cela.
  • L’âge du patient ou ses antécédents médicaux (blessures sportives, accidents, chutes etc.)
  • la nature du traumatisme ou la douleur d’origine
  • La zone traitée.
  • La condition physique et l’état de stress du patient.

Horgues se situe à la sortie de Tarbes juste après Laloubère sur la route de Bagnères de Bigorre.

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Partenariat et Conseils

Bernard Tisné est consultant thérapeutique de VitCnat, Numéro 1 du e-commerce de l’acide L-ascorbique en poudre, (Vitamine C).

Entreprise fondée avec Stéphane Leprout, spécialiste reconnu de la vitamine C en France – 7 place de l’ancien Foirail – 32410 Castéra Verduzan – Tel: 05 62 68 02

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Bernard Tisné


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